Thérapie Brève

Peut-on déjouer le piège de la souffrance mentale ?

Par Paul-Henri Pion


Peut-on déjouer le piège de la souffrance mentale (...)

La demande de thérapie naît d’une souffrance ou d’un dysfonctionnement qui s’installent de telle sorte qu’ils deviennent envahissants, jusqu’à devenir parfois invalidants. « Quelque chose » se répète. Le thérapeute cherche les séquences qui se répètent et dans lesquelles la souffrance ou le dysfonctionnement se logent. Leur répétition met en évidence certains invariants. Il en décode la logique.

L’entretien en thérapie brève doit permettre de savoir :
- ce que le client vit de dysfonctionnel,
- comment il est possible de construire la prochaine étape vers la « guérison »,
- si les stratégies mises en place pour aller d’étape en étape vont dans le sens souhaité par le client.

Le premier point d’attention fait partie de l’investigation. C’est une phase dans laquelle le thérapeute collecte les séquences de vie qui accompagnent l’émergence des « symptômes ». Les descriptifs concrets lui permettent de se faire une représentation dynamique de la situation. Sur cette base il construit, avec l’aide de son client, l’issue attendue par ce dernier.

Les lignes qui suivent vont dérouler comment les informations recueillies peuvent permettre de dénouer le piège dans lequel le client est tombé.

La demande de thérapie naît d’une souffrance ou d’un dysfonctionnement qui s’installent de telle sorte qu’ils deviennent envahissants, jusqu’à devenir parfois invalidants. « Quelque chose » se répète. Le thérapeute cherche les séquences qui se répètent et dans lesquelles la souffrance ou le dysfonctionnement se logent. Leur répétition met en évidence certains invariants. Il en décode la logique.

L’écoute attentive du client indique que les « symptômes » prennent une forme donnée. Certains facteurs doivent être réunis pour qu’ils apparaissent. Des éléments les accompagnent et font immuablement partie de la séquence dans laquelle ils s’expriment.

Client 1 : «  je dois m’améliorer » se répète le client. Tant et si bien que toute remarque qu’il entend à son égard le conduit à se remettre en cause. Un doute permanent s’installe quant à ses capacités. Il finit par ne plus rien faire, de peur de mal faire et se perd dans des questions sans fin. Son questionnement se nourrit d’anticipations sur ce qu’on pourrait penser de ce qu’il fait. Il est terrorisé à l’idée d’aller au bureau. Son patron essaie de le secouer. Plus son patron le secoue, plus il se perd dans ses doutes et questions et moins il peut présenter de réalisations concrètes. Quand il vient en thérapie, son entourage le dépeint comme « victime de harcèlement moral » ; lui déclare souffrir d’un mal être général, de nourrir des idées noires et de ne plus supporter l’idée de ne rien valoir.

L’exploration de sa vie montre que ce cycle se répète inlassablement et préside à l’apparition de ce pour quoi il vient consulter.

L’investigation a permis de mettre en évidence la forme des séquences « pathogène ».

La forme des séquences « pathogènes » doit livrer la logique des problèmes pour lesquels le client vient consulter.

A aucun moment il n’est pris en compte une quelconque normalité de ce que présente le client. Qu’il vienne consulter pour lui-même, ou qu’il vienne pour celui qu’il désigne comme porteur des « symptômes », seule la logique d’apparition des « symptômes » retient l’attention du thérapeute.

Client 2 : Le client vit une fatigue chronique qualifiée de dépression lourde et est médicalisé dans ce sens. Les entretiens révèlent que dès qu’il va mieux il se sent obligé de prendre en charge toutes les tâches ménagères et éducatives du foyer et s’épuise. Son conjoint souffre aussi de la situation : il a l’impression de ne plus avoir sa place dans le ménage.

Pour cet autre client, la logique sous-jacente pourrait être décrite ainsi : je souhaite avoir un rôle actif dans la famille, je donne le maximum à cette famille et me fatigue ; alors je ne suis plus disponible comme je conçois que je devrais l’être pour cette famille ; je poursuis donc à lui donner jusqu’à l’épuisement qui me cloue au lit coupable de ne plus rien faire et en violente colère contre moi-même qui ne suis qu’un incapable ; quand je ne suis plus fatigué, je culpabilise d’avoir été indisponible pour la famille, et donc lui en donne encore plus, et j’y mets tant d’énergie que j’essaie de faire tout parfaitement ; je réprimande mon conjoint parce qu’il ne fait pas assez vite ou bien, et je refais derrière lui pour que ce soit parfait ; petit à petit j’en viens à faire à sa place et mon conjoint perd sa place au sein du foyer ; la relation se dégrade, j’angoisse qu’il me quitte, alors j’en fais encore plus pour cette famille...

Pour faire court, la logique de cette fatigue est « je dois être attentif à ma famille et à ses membres, donc je leur donne au point d’être épuisé... et de ne plus pouvoir leur donner ».

Cette lecture logique n’enlève rien au fait que l’état de santé général du client s’altère et qu’un support médicamenteux devient nécessaire. Ce dernier n’est pas pour autant suffisant : cela fait plusieurs années que la situation dure et le client se décide finalement à consulter un thérapeute.

Le thérapeute décode le cercle vicieux au fil des échanges. Il en comprend la logique. Il sait que pour arrêter le processus qui s’est installé, il lui faut l’altérer.

Derrière ce cercle il entrevoie la peur de décevoir, de ne pas être à la hauteur. C’est cette peur qui mobilise le client et canalise son énergie au point de ne plus lui en laisser pour autre chose.

Dans cette situation, il est difficile de demander au patient de s’arrêter. En effet, lui demander de se reposer, de ne plus donner autant à sa famille est irrecevable pour lui. C’est pourtant ce qu’il lui est demandé depuis des années. « N’en fais pas tant » « repose toi un peu » « ce que tu as l’air fatigué », « laisse moi faire », etc sont les injonctions directes qu’il reçoit en permanence. Indirectement, le message entendu par le client est « ne nous donne pas », ce qui le blesse et le stimule à en faire encore plus.

Lui demander de faire quelque chose de plus, c’est prendre le risque de surcharger sa barque un peu plus au risque de le faire couler.

Cette dernière évidence occulte un point : le risque n’existe que si la demande va dans le sens de ce qu’il faisait antérieurement. S’il lui est demandé de faire quelque chose qui va dans l’autre sens, alors la situation devrait s’améliorer. Demandons lui de faire quelque chose qui allège son fardeau ou tout du moins l’empêche de s’alourdir.

Toutefois, le client est fortement attaché à ce qu’il fait. Il y trouve un sens. Cela respecte ses valeurs les plus hautes.

Toute tentative de s’opposer à ses valeurs est voué à l’échec. Il suffit pour s’en convaincre d’imaginer tous les essais que son entourage a mis en oeuvre avec certainement une grande créativité pour obtenir qu’il se repose. Leur effet est connu : la situation s’est dégradée jusqu’à venir consulter.

« Nous ne savons plus quoi faire », « je n’y arrive pas », « je ne m’en sortirai jamais »... sont entendus en première séance.

Le thérapeute doit rester dans le cadre de référence du client. Il ne peut empêcher frontalement qu’il fasse. Il lui faut respecter les valeurs cachées du client pour le mobiliser.

C’est là une des grandes lois du changement thérapeutique : le thérapeute doit avancer avec le client, au rythme et dans le monde du client avant de pouvoir induire un quelconque mouvement.

Récapitulons :

- il est important pour le client de donner à sa famille,
- lui demander d’arrêter de le faire est voué à l’échec
- lui demander de faire quelque chose doit aller dans le sens d’alléger sa charge
- lui demander de faire quelque chose doit lui permettre de donner à sa famille
- le client a peur de ne pas faire assez bien

Que faire avec ces éléments ?

Le client attend une intervention qui le soulage. Le cadre de travail du thérapeute implique qu’il crée les conditions pour que le processus enclenché il y a bien longtemps, et qui se répète encore et encore, s’arrête.

Compte tenu des éléments collectés, il lui faut oeuvrer pour qu’une modification de la séquence prenne place à l’intérieur de ce que fait, pense et ressent le client. L’impact de ce changement doit être un arrêt de la suite logique jouée par le client avec son entourage ou son environnement.

De la rupture de l’enchaînement « pathogène », devrait naître une nouvelle séquence. Cette dernière doit être vertueuse.

Revenons au cas précédent. Le thérapeute doit :

  • respecter le point de vue du client, c’est à dire lui proposer quelque chose qui soit destiné à rendre service à sa famille, à le rendre utile et attentif à celle-ci,
  • arrêter que le client se fatigue et culpabilise de l’être, c’est à dire permettre qu’il se sente utile sans s’épuiser,
  • arrêter qu’il prenne la place des autres membres de la famille, situation anxiogène pour lui, c’est à dire redonner à chacun la place d’assumer activement son rôle au sein de la vie familiale, conjugale et parentale.

Une possibilité pour le thérapeute est de reprendre l’enchaînement décrit avec son client et de lui faire expliciter son caractère paradoxal ; en voulant être utile et attentif à sa famille il conduit sa famille à être attentive à lui qui ne peut plus contribuer.

La conclusion naturelle est qu’il n’est pas encore assez attentif à sa famille puisqu’il arrive au résultat inverse.

Le thérapeute peut accompagner son client vers la formulation d’une nouvelle attitude à mettre en place pour être encore plus attentif à sa famille : le client devra demander de l’aide pour certaines tâches de façon à respecter les autres membres de la famille dans leurs rôles respectifs, lui-même devenant l’organisateur du bien être de la famille. Le thérapeute mobilisera pour cela la peur de mal faire. De moteur « pathogène » elle devient force constructive.

Il est bien évident qu’il ne s’agit pas là d’une recette passe partout ; pour la mettre en oeuvre avec succès, il convient d’avoir intégré les principes de l’approche systémique et stratégique en thérapie brève et suivi un entraînement adapté.

Il s’agit là d’illustrer le mouvement logique qui permet de construire un premier pas vers la sortie du cercle vicieux dans lequel s’est enferré le client.

Cette orientation générale est la bonne. Sa mise en oeuvre en séance et la prise en compte de l’entourage seront délicates. Il y aura certainement lieu de mobiliser ce dernier pour ajuster des boucles connexes ou des articulations fines de la séquence « pathogène ».

Dans ce qui se joue précédemment, le client prend l’initiative des actions au sein de la famille. L’initiative fait partie de la boucle « pathogène ». Le client, fatigué et inquiet pour son couple, peut accueillir favorablement l’idée de demander l’aide de son conjoint dans la démarche thérapeutique. Le thérapeute expliquera alors au conjoint combien il est fatiguant pour son client de penser ainsi à tout. Il lui demandera d’anticiper sur les actions du client. Le conjoint devra demander au client de faire certaines tâches ménagères qu’il aurait faites de toutes façons spontanément. L’initiative change de camp. La séquence est altérée. Un nouvel équilibre doit en sortir. Quand les séances suivantes valident cette orientation complémentaire, le rôle du thérapeute auprès du conjoint sera de l’encourager à persévérer à prendre l’initiative.

Les deux interventions vont à l’encontre l’une de l’autre : dans la première le client est invité à en faire moins en organisant le travail des autres ; dans la seconde il lui est demandé de faire. L’articulation des deux tâches relève d’une négociation entre conjoints en séance, de façon à cantonner leurs impacts respectifs.

D’autres « micro-régulations » seront nécessaires pour que tout ceci se déroule respectueusement et efficacement du point de vue du client. La thérapie est pleine de facettes exploitables pour déclencher ce qui est coincé depuis si longtemps.

Par ailleurs, la thérapie est souvent un jeu de poupées russes dans lequel les problèmes à prendre en charge se succèdent. Leur nombre, comme pour les poupées russes, est limité. La thérapie a donc une fin.

Mais à chaque fois, les quatre étapes seront déroulées :

Etape 1 : entrer dans le monde du client et parler avec lui de ce qu’il vit
Etape 2 : décoder l’enchaînement logique dans lequel apparaissent les « symptômes »
Etape 3 : imaginer la modification à apporter à cet enchaînement logique pour interrompre son caractère vicieux
Etape 4  : construire avec le client une façon de concrétiser cette modification.

Cette démarche en 4 étapes peut-être reproduite avec des résultats dans la plupart des troubles mentaux. Sa limite semble être la capacité du thérapeute à entrer dans le monde du client, puis à manoeuvrer stratégiquement dans ce monde.

Publication proposée par : Pion Paul-Henri

Paul-Henri Pion est psychopraticien à Courbevoie. « C’est en lâchant prise que vient la maîtrise ». Paul-Henri s’intéresse aux conditions de la performance et du bien-être humains. Sa pratique s’inscrit dans la lignée des travaux du Mental Research Institut dont il a suivi les enseignements. Économiste de formation, certifié en PNL et hypnose éricksonnienne, diplômé en psychologie, il met son expérience au service de votre bien-être.

- Tél. 06 03 10 66 90 - 01 43 34 12 39
- Courriel : phpion.tb@free.fr
- France - Courbevoie
- Site : http://pion.tb.free.fr/

Du ou avec le même auteur

Paul-Henri Pion - Thérapie brève
« C’est en lâchant prise que vient la maîtrise ». Paul-Henri Pion s’intéresse aux conditions de la performance et du bien-être humains. Sa pratique (...)

Quand la raison nous piège
« Mais il me semble qu’il n’a pas du tout d’habit » observa un petit enfant. Et bientôt, on chuchota dans la foule « l’empereur n’a pas d’habit du tout (...)

Le lâcher prise : un renoncement ou un moyen de se dépasser ?
L’expression lâcher prise renvoie l’image de quelqu’un qui s’agrippe désespérément et finit par renoncer à sa proie ou à sa prise. Elle porte en elle (...)

Quatre secrets pour vivre heureux avec soi, les autres, le monde
Vous voulez vous sentir acteur de votre vie, contrôler sans vouloir tout maîtriser, sentir quand vos qualités peuvent devenir des défauts, faire (...)

Pourquoi et comment fonctionne la thérapie brève ?
Même après 50 ans d’existence, la thérapie brève, souvent appelée aussi thérapie stratégique pour la distinguer des thérapies courtes développées depuis (...)

Lâcher-prise, moi ? Jamais !
« Lâche-prise ! » « Mais lâche donc prise ! ». Que de fois cela m’est-il rapporté dans mon cabinet ! Et à chaque fois ma réponse reste la même : « (...)

La nature et la logique : histoire d’une expérience
Parfois, "et" paraît violent pour un esprit logique éduqué à l’école d’Aristote. Utiliser "et" à la place de "mais" "fait mal aux oreilles. (...)

Arrêtons de vouloir changer !
Quand Arlette s’est présentée effondrée en demandant mon aide, sa situation lui paraissait désespérée. L’ambiance familiale était devenue telle qu’il (...)

Faire voler en éclats le plafond de verre
Ou, comment déjouer les effets pervers de la régression. Jean m’est adressé par une consœur. Il a un solide parcours en développement personnel à (...)

Lâcher-prise ou vivre avec son stress ?
L’été se termine. Les mouches se font discrètes. Il faudra attendre l’année prochaine pour s’émerveiller devant l’obstination de ces insectes à vouloir (...)

Un emplâtre sur une jambe de bois...
Bien souvent le praticien reste perplexe quant au résultat atteint par ses accompagnements. Son client va mieux ; il s’est libéré des problèmes (...)

Bonne route pour 2015 !
Et si pour cette année nous apprenions à respecter notre nature plutôt qu’à la forcer ? Voici quelques propositions directement issues du mode (...)

Lâcher prise
"Ne renonce jamais, lâche prise, et la voie s’éclaire", telle est la proposition de ce livre. Car nous avons du mal à vivre le moment présent, (...)

10 clés pour bien vivre 2014
2014 n’aura que 365 jours, c’est à dire 365 opportunités de construire son propre enfer ou 365 occasions de construire son bonheur et celui d’autrui. (...)

La prescription du symptôme par Paul-Henri Pion
Derrière la prescription de symptôme comme derrière toutes les approches dites paradoxales se cache l’accueil inconditionnel de l’autre et donc la (...)

2013 année de la Prescription de Symptôme ?
Demander à quelqu’un de faire ce qu’il cherche à ne pas faire peut paraître bizarre. Pourtant, quand ce qu’il ne veut pas faire le dérange, c’est là (...)

L’empathie - Par Paul-Henri Pion
Penser avec empathie, interagir avec empathie est synonyme de tenir compte de l’émotion de l’autre que notre organisme encode. Être empathique (...)

Pour des standards professionnels - Partie 2
Dans la première partie publiée dans ces colonnes le 25 mars dernier, je livrais quelques invariants et en tirais des implications sur la façon de (...)

Pour des standards professionnels - Partie 1
À l’heure où le film "Le Mur" défraye la chronique de nos professions, chacun est passible de s’inquiéter de voir sa pratique dénigrée, tant au niveau (...)

La relation d’aide, une expérience ?
“Le fait de refaire l’expérience de l’ancien conflit laissé en suspens, mais avec un dénouement nouveau, c’est là le secret de tout résultat (...)

Rester sain d’esprit : pensez-y !
Se sentir acteur de sa vie est un ingrédient majeur de la santé mentale. Une vie sain d’esprit et heureux repose essentiellement sur notre capacité (...)

Il ou elle va mourir, comment m’y préparer ?
La maladie, l’âge, les blessures ou les conditions météorologiques vont avoir raison de son organisme et vous allez perdre un proche. Que vous le (...)

Manuel du Lâcher Prise
Dans le Manuel du Lâcher Prise, Paul-Henri Pion traite la question de sortir des ornières relationnelles avec soi, les autres ou le monde. Il y est (...)

Question de confiance
Parfois, on entend dire à propos d’une personne affirmée, c’est un mâle dominant ou une femelle dominante. Je vous en propose une autre lecture, basée (...)

Parents, c’est la rentrée !
« Sois plus ferme avec moi » ou « tu n’es pas assez dure avec moi », sont des cris d’appel au secours que j’entends en général autour de Pâques quand (...)

Devoir de mémoire
Dans une très belle conférence intitulée « la dimension d’aimer », le psychanalyste jungien Elie G. Humbert, s’exprimait ainsi : « ...il y a un type (...)

Journal intime ou journal intime ?
« Chaque jour, dans un grand cahier, à un moment que vous avez choisi, vous écrirez la date et le lieu, puis une fois la date et le lieu inscrits, (...)

50 exercices pour lâcher prise
Articulé en quatre parties, ce manuel regroupe 50 exercices construits rigoureusement dans la logique de l’arrêt des tentatives de solutions (...)

Arnaque au mieux-être
Mieux-être passe par exercer son intelligence avec bon sens et sortir de l’aveuglement pour voir les évidences. « J’ai tout essayé, je ne vois plus (...)

Bonnes résolutions...
Le passage de l’année est propice aux bonnes résolutions. Seulement voilà, avec le temps, ces résolutions prennent l’allure de trop bonnes résolutions (...)

Aventure d’automne
Alice vient de se poser. Jeune femme trépidante de la ville, Alice est au fait des dernières nouveautés tendances. Pas une vente privée ne lui (...)

Les émotions de l’été : Saynètes et décryptage
Voici avec l’été, le relâchement tant attendu pour récupérer de la fatigue de l’année. Mais voilà, qui dit relâchement, dit retour au galop de la nature. (...)

Le plaisir est dans le pré ...
Après avoir fait un long détour au fin fond de son trouble, le client revient à la vie ambiante et doit en réapprendre les usages et les saveurs. Le (...)

Je t’aime, un peu, beaucoup, énormément …
La vie à deux est une aventure pleine de satisfactions et de désillusions douloureuses. Partager son espace, ses envies ou ses humeurs est un (...)

C’est le jour des morts ...
Selon la tradition chrétienne, les premiers et deux novembre sont devenus des jours privilégiés pour se rappeler aux morts et se rappeler d’eux. (...)

C’est la rentrée !
Les vacances sont passées. Au détour d’une rue, d’une lumière ou d’un visage, l’esprit s’évade et retourne en vacances. Les vacances... c’est souvent le (...)

Harcèlement, stress, ou peur ? Un exemple pour comprendre
Le stress et le harcèlement moral sont deux fléaux que l’organisation moderne du travail favorise. L’article suivant appartient à une série (...)

Harcèlement moral au travail : un exemple pour comprendre
Le stress et le harcèlement moral au travail sont deux fléaux que l’organisation moderne du travail favorise. L’article suivant appartient à une (...)

Stress au travail : un exemple pour comprendre
Le stress et le harcèlement moral au travail sont deux fléaux que l’organisation moderne du travail favorise tant et si bien que le législateur s’en (...)

Vers une approche psychanalytique de la Thérapie Brève
Les approches analytiques semblent parfois considérer avec dédain les apports de la thérapie brève. Certain praticiens en thérapie brève considèrent (...)

Dans ce que je lui dis ... qu’est-ce qui l’intéresse ?
Le client passe la porte du cabinet du thérapeute avec la demande minimale « que « ça » s’arrête » voire « que « ça » aille mieux ». Il confère au (...)

Position du thérapeute et dynamique en Thérapie Brève (1)
Que ce soit par soucis du secret professionnel ou par l’utilisation d’une langue obscure, ce que le thérapeute fait en séance reste difficile (...)

Le fil conducteur du thérapeute en Thérapie Brève
En thérapie brève, le thérapeute considère le client comme une personne normale qui, en cherchant la meilleure adaptation possible à un instant donné (...)

Avertissement
L'information diffusée sur Mieux-Etre.org est destinée à encourager, et non à remplacer, les relations existantes entre le visiteur du site et son médecin ou son thérapeute.
Mieux-Etre.org
© sprl Parcours
Tous droits réservés
Mentions légales