Cet article montre les corrélations, et tente de dresser des ponts, entre le jeu théâtral, la formation d’acteurs et la formation de futurs thérapeutes familiaux. L’auteur part de ses expériences théâtrales et de sa pratique de formateur en thérapie familiale. Après avoir relevé les convergences entre auteurs dramatiques et psychothérapeutes, il tente de montrer comment l’émotion nait du corps se mouvant dans un espace scénique ou thérapeutique. Corps producteur de signes faisant naître sens ( indication de lecture ) et sensorialité, clé de voûte du décodage d’ un corps ( individu ) par un autre corps (individu ). Corps et émotions produisant des rituels également sécurisant mais aussi aliénant.
Ce que vous êtes crie tellement de lui-même
que j’ai du mal à entendre ce que vous dites
Ralph Waldo Emerson
Cet article n’a d’autre ambition que de décrire un parcours, un voyage, dans l’univers théâtral entamé en 1972 et son application à la formation en thérapie familiale ( depuis 1985 ) à l’Institut d’ Etudes de la Famille et des Systèmes Humains de Bruxelles. Voyage « impressionniste » par conséquent, dans lequel certains étudiants se reconnaitront je l’espère. Cet écrit n’a d’autre prétention que de réveiller des souvenirs, des émotions et soumettre au lecteur une réflexion sur l’utilisation du corps, de l’espace, en thérapie et en formation et éveiller cette évidence qui est mienne que la vie est un théâtre et la psychothérapie une de ses scènes....
Nous avons enseigné ces exercices en première année de formation à l’I.E.F.S.H. Nous faisons une « pause » depuis trois ans afin de nous ressourcer et élaborer d’autres exercices.
Ceci est une occasion, enfin, de rendre hommage à des professeurs, metteurs en scène, acteurs, compagnons de route qui auront orienté ma vie et mon parcours professionnel. Je pense à Guy Ramet (Centre d’Etude Masque et Mouvement à Walhain-St-Paul, Belgique), Augusto Boal (fondateur du Théâtre de l’opprimé, Lassaad Saidi (école de Lassaad à Bruxelles), mes formateurs en psychodrame et plus particulièrement Bernard Robinson (CERP à Liège), mes amis avec lesquels j’eus le plaisir de faire de l’improvisation théâtrale.
Dans leur livre « La Forteresse Familiale » (1985), Maurizio Andolfi et Claudio Angelo intitulaient un chapitre : « Le thérapeute, metteur en scène du drame familial », Ce même chapitre était publié dès 1980 dans le troisième Cahiers Critiques de Thérapie Familiale et de Pratiques de Réseaux et mettait en exergue une citation de la pièce de Pirandello « Six personnages en quête d’auteurs ». Andolfi pressentait déjà combien le rôle attribué par une famille au thérapeute ressemblait à celui du metteur en scène sensé distribuer textes, rôles, partitions.
Théâtre et thérapie ont toujours été proches. Depuis les fêtes dyonisiaques dans la Grèce antique, en passant par les grands auteurs classiques Sophocle, Euripide, Shakespeare, le théâtre n’eut de cesse de fasciner les psychothérapeutes, Freud et J.L. Moreno en tête. C’est à Aristote que Moreno emprunta ce qu’il a nommé catharsis d’intégration. Aristote définissait la catharsis comme « purification de l’âme », une « purgation des émotions ». J.L Moreno utilisera la catharsis d’intégration comme un soulagement et définira après un état de tension extrême un sommet émotionnel avec rupture de résistances, un dégel des sentiments, une libération du passé. Après la catharsis, il retravaillera dans son dispositif groupal les sentiments, les perceptions, les rôles du sujet, c’est la perlaboration. Ceci inspirera le « deroling » après simulation ou jeu de rôle en formation.
Même si les dispositifs du psychodrame diffèrent de la théâtrothérapie, nous ne pouvons qu’être frappé par la proximité des deux disciplines qui l’une et l’autre peuvent être utilisées en formation (thérapie familiale ou autre). En formation dans les simulations ou jeux de rôles que faisons nous sinon jouer des rôles fictifs ou réels, nous insérant par expérimentation et identification dans des rôles nouveaux et différents.
A-M. Nicolo utilisera en thérapie la technique du familiodrame, variante du psychodrame appliqué en sessions de formation ou en thérapie. Pour J.L Moreno l’homme est défini par quatre dimensions de son existence, la première étant l’éventail des rôles qu’il joue dans sa vie (A . Ancelin-Schützenberger, p. 29) « chaque personne se ressent, pense et agit en fonction d’une multiplicité de rôles physiologiques, psychologiques, professionnels et sociaux qui la définissent... chaque personne expérimente consonance ou dissonance entre ces rôles... ». C’est toute la question de l’harmonie de soi, de la congruence.
En thérapie familiale, l’essentiel du psychisme ne peut se véhiculer par le langage seul. La parole vivante et spontanée se complète par le geste, l’échange, la rencontre, l’interaction, le non-verbal de la communication.
En formation à la thérapie familiale nous utilisons le jeu de rôle, technique proche du psychodrame permettant d’expérimenter de nouveaux rôles par le jeu spontané, d’élargir son répertoire, se désinhiber et partant de réexpérimenter des rôles ou une nouvelle place familiale. Il y a toujours résonance entre le personnage que l’on joue et son moi profond, son rôle social ou familial.
Dans ces convergences entre théâtre, psychodrame et formation, nous mentionnerons encore la conférence donne par A. Boal en 1989 à Amsterdam à l’occasion du centenaire de la naissance de J.L Moreno. Une rencontre entre Boal et Zerka Moreno, veuve de J.L Moreno, décida Boal à travailler dans des domaines extérieurs au théâtre : la politique bien sûr, le champ social, l’éducation et la psychothérapie (notamment avec le Dr Roger Gentis à Fleury-les-Aubrais).
Voilà une phrase que nous nous répétons bien souvent, que cela soit dans un jeu théâtral, une simulation en formation ou lors d’une difficulté dans notre vie professionnelle, sociale ou familiale.
Suis-je moi ou un autre ? Quelle partition me fait-on jouer ? Suis-je à ma juste place ? Dans l’impro. théâtrale réalité et imaginaire se fécondent mutuellement.
Serge Minet écrit « ...dans la mosaïque de mon histoire, quelle est ma place, mon rôle ? Que m’a t-on imposé ? Que m’a t-on transmis et que fais-je moi de tout cela aujourd’hui ? Que m’a t-on caché ? De quel secret indicible suis-je porteur » (p.12).
Les exercices proposés en formation, nous le verrons, permettent aux participants d’envisager d’autres scénarios, des changements de rôles. S.Minet écrira encore « l’évocation de l’histoire de la famille ou des petites histoires de famille met en forme la relation et l’altérité : se situer soi, comme unique dans son rapport à la ressemblance, à la conformité, à l’originalité. Qui suis-je ? Qui est l’autre ? « (p.12). Dans son livre, Minet citera entre autre Bateson, Watzlawick, S. Hirsch.
Nous l’avons dit, c’est Moreno qui le premier a systématisé le théâtre thérapeutique. Par la mise en scènes de problèmes personnels le protagoniste aidé par des ego-auxiliaires exprime des sentiments et met en scène des situations. Le psychodrame morénien est un psychodrame de groupe pratiqué en groupe ( à l’inverse du psychodrame psychanalytique où le patient est seul, aidé par des thérapeutes qui sont les ego-auxiliaires). La théâtrothérapie ne se limite pas bien sûr au psychodrame. L’improvisation théâtrale, le clown, l’expression corporelle sont également utilisés comme moyens thérapeutiques. Nous y reviendrons.
A. Boal dira que le théâtre nait lorsque l’être humain découvre qu’il peut s’observer lui-même, lorsqu’il découvre que dans cet acte de voir il peut se voir « en situation » (A.Boal, l’Arc-en-ciel du désir, p.21).
Nous mentionnions le rite agraire où se succédaient les saisons dans les fêtes dyonisiaques, depuis les tragédies antiques des dramaturges Grecs l’humanité n’eut de cesse de déplacer, transfigurer, jouer rêves, imaginaire, réalité.
Qui suis-je quand je joue un jeu de rôle en formation ? Qui est-il ce père, cet enfant, cette mère en thérapie familiale si ce n’est qu’un être d’émotion qui (se) construit un rôle
Que ce soit Winnicott, Diderot, Stanislavski, Brecht, Artaud, le Living Theater etc. Le jeu ouvre, représente, permet de devenir autre, faire revenir de la mémoire.
A. Boal décrivant les propriétés essentielles du théâtre parlera du libre exercice de la mémoire de l’imagination du jeu, du présent et du futur. Ces propriétés sont esthétiques (l’espace esthétique du théâtre) c’est à dire sensibles. La connaissance est acquise à travers les sens et pas uniquement la raison (ce que confirme la P.N.L également). Si nous comprenons, c’est parce que nous voyons et écoutons. Le thérapeute en formation en voyant et en écoutant -en se voyant et en s’écoutant lui-même- acquiert des connaissances sur lui-même. « Je vois et je me vois, je parle et je m’écoute, je pense et je me pense ; cela n’est possible que grâce au dédoublement du « Je » : le « je »-maintenant » perçoit le « je-avant » et anticipe le « je-possible », un « je-futur » (Boal, l’Arc-en-ciel du désir, p.40).
A. Damasio ne dit pas autre chose lorsqu’il dit que les émotions se manifestent sur le théâtre du corps et les sentiments sur celui de l’esprit. Dans son livre « Spinoza avait raison » il consacre le 3è chapitre (« les sentiments » ) à expliquer les mécanismes du cerveau et du corps qui sont responsables du déclenchement et de l’exécution d’une émotion. Contredisant Descartes il énonce que « la vision du problème de l’esprit et du corps opposant d’un côté l’esprit et de l’autre le corps et le cerveau, ce dualisme des substances ne domine plus la science et la philosophie, bien que ce soit probablement celle que la plupart des êtres humains entretiennent encore. » (p.187)
Ce processus à notre estime est le même dans une simulation. Dans quelle mesure le rôle que je joue n’est pas (aussi) un peu moi et comment est-ce que je vis, expérimente cela ?
Une formation active aide l’étudiant à ne plus être passif, dépositaire, mais à devenir sujet créateur et ensuite à trouver des alternatives de changement aux situations problématiques proposées en se changeant lui.
Si Boal acteur et metteur en scène marxiste dans la lignée de Brecht, a crée le théâtre-forum (variante du théâtre de l’opprimé) pour désaliéner le peuple, l’aider à exprimer sa révolte contre les oppressions sociales (ex. Brésil en 1976) ou conjugales et familiales (il a travaillé avec beaucoup de groupes féministes) c’est qu’il était persuadé que l’activité artistique était naturelle à tous les hommes et toutes les femmes et « ce sont les oppressions dont nous pâtissons dans notre « éducation » qui nous limitent et réduisent notre capacité d’expression (Jeux pour acteurs...p.12).
Nous rejoignons ici le psychodrame où le protagoniste (ou l’étudiant en formation puisque nous utilisons le psychodrame en formation de thérapeute) peut transposer dans la vie courante ce qu’il a été capable de faire dans la « fiction » du jeu de rôle ou du jeu . Par un effet pas très éloigné de l’effet cathartique, le désir de transformation de la réalité se dynamise, augmente, « s’auto-active » dirait Boal.
Formateur à l’I.E.F.S.H depuis 1985, c’est sur une suggestion d’Edith Goldbeter, directrice de la formation, que nous avons tenté une transposition d’exercices de formation d’acteurs au cursus de formation.
Pour nous l’émotion devait être prioritaire. Elle devait aider à lire le corps de(s) autre(s), son propre corps et décoder l’espace pour s’y mouvoir avec plus de conscience. Ce travail que nous faisions en 1ère année du groupe en formation visait à « démécaniser » la structure corporelle, figée, anesthésiée pour réveiller les sens (ce que nous appelons le « décrassage sensoriel »). Les sens sélectionnent toujours de la même manière, mécanisent les structures musculaires, corporelles, et partant cognitives.
Nous insistons toujours sur la compréhension de l’exercice (simulation p.ex.) et pas uniquement sur le ressentir. Pourquoi suis-je ému (ému c’est être en mouvement ) ? Quelles sont les causes, la nature de l’émotion ? Dans un jeu, comment suis-je rattrapé, à travers le personnage joué par une émotion qui m’étreint (ex. d’une étudiante qui joue une femme battue et qui l’a été dans son couples).
Dans les exercices de « déverouillage sensoriels » nous travaillons la sensation de ce que l’on touche, l’écoute de ce qui est entendu, la vision de ce que nous regardons. Le but est de mieux lire, connaître son corps, sa structure musculaire, ses relations aux autres corps, ses atrophies, ses hypertrophies. C’est par le corps que nous émettons et réceptionnons les messages (Watzlawick et alt.). Idées et sensations sont mêlées. Un mouvement corporel est une pensée et une pensée s’exprime corporellement. Une autre globalité est celle des cinq sens. Les activités corporelles sont celles du corps entier.
Les exercices proposés en formation vont tous dans un sens opposé au courant très actuel de la morphopsychologie. Il ne s’agit pas de donner des « clés » pour interpréter les signaux du corps (ex. « s’il lève un sourcil c’est qu’il est interrogatif, dubitatif, anxieux... ») mais uniquement de se rendre compte comment le mouvement fait naître et tire l’émotion. En situation thérapeutique, cela devrait se faire dès l’entrée du thérapeute et des patients dans la pièce.
Nous ne reprendrons pas, ce serait fastidieux sans une expérimentation, les exercices proposés. Ils sont tous inspirés des techniques de formation d’acteurs de Boal (jeux pour acteurs...p. 79 à 142) et G. Ramet ( syllabus de formation ).
Nous n’en décrirons que 6 :
Le corps se meut dans un espace, dans un temps [1] . Nous nous évertuons de transmettre ces notions à travers des exercices par lesquels les sentiments naissent dans l’espace (le lieu de thérapie p.ex.) et pas de l’interprétatif. Ecouter son corps dans le mouvement et le non-mouvement, c’est réapprendre à se parler à soi-même, réapprendre à laisser monter les impressions corporelles, les reconnaître, les comprendre, puis les sortir et les exprimer pour soi d’abord, pour le groupe ensuite.
Le corps intègre la tête (et non pas une tête qui se sert du corps). Dès l’entrée dans bureau ou une pièce de consultation nous bougeons et ce mouvement est d’abord intérieur, nous parlerons d’impressions corporelles. Sans discontinuer nous décodons l’autre (l’actant en langage théâtral) dans son mouvement. S’exprimer c’est construire des directions pour produire du sens, mais ces directions (donc le sens) sont tributaires d’un environnement socio-culturel. Les espaces qui nous entourent se sont peuplés de rêves, de religieux, de spirituel (le ciel est en haut, l’enfer est en bas pour nous occidentaux). Peur et joie sont des temps et espaces différents.
Nous insistons en formation, également sur le souffle, la respiration. Un même mouvement ou des respirations différentes induisent des situations dramatiques différentes. En réalisant un mouvement sur l’inspire, plusieurs fois de suite -sans y mettre d’intentions ou états d’âme- quel est le vécu corporel qui monte en moi ? Qu’est ce qui s’imprime en moi ?
En formation, ce travail d’appui sur le souffle (que nous oublions toujours) est primordial.. En thérapie, la respiration maitrisée nous calme, nous rassérène. Notre corps envoie des signes producteurs de sens qui en retour provoquent rétro-actions avec l’autre. Nous sommes bien dans les axiomatiques de la communication décrites par P. Watzlawick et alt.
D’autres exercices visent à faire prendre conscience du regard qui entretient la tension, de l’espace intercorporel entre patients (et/ou étudiants en formation) et thérapeutes. Bref, tout ce qui relève de l’insu, du surprenant, de l’émotionnel c’est à dire l’articulation du verbal et du non-verbal.
Les commentaires et approfondissements de ces exercices portant sur la corporeité et les rituels sont également théorisés grâce aux apports de Ray Birdwhistell (l’approche micro-analytique de l’interaction, la relation entre corps et culture), Edward Hall (la proxémique ou étude de la perception et de l’usage de l’espace par l’homme), A. Scheflen (étude de l’interaction par les successions de positions, les niveaux synchroniques et diachronique etc.) [2]
Apparemment
Tu ne fais pas de gestes,
Tu es assis là sans bouger,
Tu regardes n’importe quoi,
Mais en toi
Il y a des mouvements qui tendent
Dans une espèce de sphère
A saisir, à pénétrer,
A donner corps
A je ne sais quels flottements
Qui peu à peu deviennent des mots,
Des bouts de phrases,
Un rythme s’y met
Et tu acquiers un bienEugène Guillevic - Le Sorti des mots in Art poétique (ed. Gallimard. PUF)
Cet article n’avait d’autre intention que de sensibiliser le lecteur, le formateur, à différents exercices servant comme outils de formation en thérapie systémique.
En passant à la caisse de votre supermarché ou en attendant un avion, vous avez sans doute remarqué des livres qui se proposaient de vous enseigner à déchiffrer le « langage du corps ». Ils assurent que vous pouvez apprendre à lire les pensées des autres et à découvrir leurs secrets les plus profonds. Nous prenons le contrepied de ce courant morphopsychologique mystificateur, comme si l’interaction humaine pouvait se décoder par une « clé des gestes » !
Nous avons, bien au contraire, tenté à l’aide de thèmes et d’exercices issus de formations à l’expression corporelle ou à diverses disciplines théâtrales, de démontrer que le corps est producteur de signes, donc de sens et ceci dans une occupation de l’espace qui est lui-même déterminé et codé culturellement.
Si la créativité du lecteur s’en est trouvée aiguisée, notre but est atteint. Si le formateur peut développer ses propres exercices et parfaire son »art », nous serions comblé.
Références
ANCELIN-SCHÜTZENBERGER A. (2003), « Le psychodrame », Payot, Paris.
ADLER R. Et TOWNE N. ( 1991 ), « Communication et Interactions », Etudes Vivantes, Montréal.
ANDOLFI M., ANGELO , MENGHI, NICOLO (1985), « La forteresse familiale », Dunod, Paris.
BOAL A. (1990) « Méthode Boal de théâtre et de thérapie. L’arc-en-ciel du désir », Ramsey, Paris.
BOAL A. (1983) « Jeux pour acteurs et non acteurs. Pratique du théâtre de l’opprimé », la Découverte, Paris.
BOAL A. (1985) « Théâtre de l’opprimé », la Découverte, Paris.
DAMASIO A. (2003) : « Spinoza avait raison. Joies et tristesse, le cerveau des émotions », Odile Jacob, Paris.
LECOCQ J. (1997) : « Le Corps poétique . Un enseignement de la création théâtrale », Actes Sud, Arles.
MARTEAUX A. « L’ analyse systémique revisitée par l’improvisation théâtrale ». Stage co-animé avec Florence PIRE. Charleroi, décembre 2011.
MINET S. (2006) : « Du divan à la scène », Mardaga, Sprimont.
ROBINSON B. (1998) : « Psychodrame et psychanalyse . Jeux et théâtres de l’âme », De Boeck Université, Paris, Bruxelles.
STANISLAVSKI C. ( 1992 ) : « La formation de l’acteur ». Payot, Paris .
WATZLAWICK P . et alt (1972) : « Une logique de la communication », Seuil, Paris
WINKIN Y. (1981) : « La nouvelle communication. Textes recueillis et présentés », Points, Paris.
[1] Tous ces concepts sur le corps, l’espace, le signe m’ont été transmis par les stages effectués au Centre d’Etudes Masque et Mouvement crée par Guy Ramet à Walhain-St-Paul (Belgique), professeur émérite de l’Institut des Arts et Diffusion
[2] In Yves Winkin « La nouvelle communication »
Alain Marteaux est Psychothérapeute systémique à Bruxelles (Ixelles et Etterbeek). Alain est aussi Formateur à l’Institut d’Etudes de la Famille (Bruxelles), à l’Ifisam (Bruxelles), à Tabiyeen (Liban). Il a également suivi une Masterclass en Récits de Vie (thérapies narratives) chez l’asbl les Réveilleurs d’Histoires et une formation diplômée en « Accompagnement des personnes traumatisées : fondements théorique et pratiques » (en ligne au Training Institute for Psychology and Health averc Moîra Mikolajczak et Isabelle Roskam).
Il est Membre de l’European Family Therapy Association, de l’Abipfts (Association belge des intervenants en psychothérapie systémique), et du Groupement belge des formateurs en thérapies systémiques.
Il est aussi Titulaire du certificat Européen de Psychothérapie (CEP) délivré par l’Association Européenne de Psychothérapie (AEP).
40, av. du 11 novembre à Etterbeek (1040)
3, square du Solbosch à Ixelles (1050)
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