SEB et IFS (Système familial intérieur)

Quel cheminement à partir des États du Moi et de nos sous-personnalités ?

Par Yves Wauthier Freymann


Quel cheminement à partir des États du Moi et de nos (...)

Dans la nébuleuse des thérapies de tout poil, un des modèles les plus innovateurs des dernières décennies est sans conteste celui des Ego States alias les états du Moi.

Ce « Moi » n’est pas à prendre dans le sens psychanalytique.
Du point de vue des Ego States, dont font partie l’IFS – l’Internal Family System – et plus indirectement le Self Emotional Balancing, le Moi s’entend et se traduit par l’ensemble de nos sous-personnalités qui se développent comme moyens de protection et de résilience à notre environnement direct. La théorie des États du Moi est née des travaux de John et Helen Watkins dans les années 80.
Elle visait à l’époque à traiter les états traumatiques.

Les États du Moi peuvent se définir comme un système organisé de processus d’adaptation et de survie, de sensations, d’émotions, de résilience et d’expériences dont les éléments s’associent par des points communs : l’âge, la culture, la fonction, le besoin, etc.
Richard Schwartz a modélisé son modèle au courant des années 90 qui postule que « nous sommes composés de nombreuses sous-personnalités (parts ou parties) et de les reconnaître permet de créer un espace de guérison pour les comprendre et les aider à vivre plus harmonieusement. » ( IFS association)

Le dessin animé Vice-Versa représente une relativement bonne représentation de notre monde intérieur où nous retrouvons les émotions représentées par des petits « nous » à notre image qui portent chacun une émotion (le fardeau si c’est négatif), une croyance, une image, un événement… Ces « réactions » à notre environnement, en fonction de la sécurité émotionnelle et affective que nous avons pu expérimenter naturellement enfant, vont être à l’origine de l’apparition de sous-personnalités.

Dans le modèle IFS, les sous-personnalités sont de 2 types.

  • Les Exilés qui représentent la blessure, le trauma non digéré par notre système
  • Les Protecteurs qui vont chercher à protéger l’Exilé d’une plus grande souffrance ou à protéger le reste de notre système de la souffrance – des fardeaux - de cet Exilé.

Les Protecteurs se diviseront eux-mêmes en 2 sous catégories :

  • Les Pompiers qui cherchent à éviter ou à limiter la souffrance en mettant en place une série de comportements et de mécanismes de défense tels que les Tocs, les ruminations mentales, les addictions, les phobies, les comportements excessifs. Ces mécanismes vont, au départ, distraire notre système de la souffrance jusqu’au moment où ces fardeaux ne peuvent plus être éviter. La pression et l’apparition de nouveaux Pompiers vont finir par générer par eux-mêmes de nouvelles blessures et souffrance et manger de plus en plus leur capacité à limiter ou à éviter la souffrance de l’Exilé ou des Exilés.
  • Les Managers qui vont chercher à reprendre le contrôle et à limiter notamment la place prise par les Pompiers afin d’en réduire les effets devenus nocifs.

Ces protecteurs peuvent entrer en conflit avec d’autres systèmes Exilés / Pompiers / Managers qui protègent d’autres Exilés présents dans notre système. Nous appellerons cela des systèmes complexes ou multiples. Il est évident qu’au plus tôt le patient aura expérimenté des événements tragiques ou traumatiques au moins il aura la capacité d’avoir conscience de ces mécanismes et de ces sous-personnalités.

Le roi des Managers dans ce modèle sera appelé le Self like car il aura toutes les qualités du Self mais sera toujours occupé à agir et, par là-même, démontre qu’il est une part du système mais sans en avoir la conscience. Cette part apparaissant souvent avant le début de nos mémoires identitaires aux alentours de nos 3 ans aura beaucoup de difficultés à se détacher et à prendre conscience qu’il est lui-même partie prenante de nos protecteurs. Le Self Emotional Balancing , en repassant par l’observation du corps par un protocole particulier facilitera cette prise de conscience et son déchargement.

Peut-être que ce qui précède vous fait comprendre que nous nous rapprochons lentement mais sûrement de la définition même de ce que sont les traumas complexes et les troubles de l’attachement qui y sont très souvent attachés. Ces deux derniers sont effectivement en lien étroit avec les Ego States. L’apparition de ces sous-personnalités va de pair avec ces expériences malheureuses. Elles vont par tous les moyens chercher à nous aider à nous adapter à notre environnement, nous en donner des grilles de lecture avec l’objectif que nous puissions y survivre aussi bien que possible. Les protecteurs auront cette fonction et seront en lien étroit avec notre capacité de résilience et de survie. L’intégration des réflexes archaïques ou primitifs auront également un impact significatif dans la résolution de ces traumas (cf. www.reflexes.org ou www.iepra.com via les ateliers donnés par Axelle Kary praticienne certifiée).

Un peu de mon histoire...

Lorsque j’ai pris conscience personnellement de ces programmes et en ai fait l’expérience plus en conscience, j’avais 5 ans et demi. Je vivais une maltraitance physique et psychologique. Je subissais une certaine négligence de soins. Je ne comprenais pas l’intérêt de vivre dans cet environnement toxique. Je me souviens très bien de ce matin où réfugié dans le lit de mes parents à Ixelles, je ne voulais pas me réveiller. Je désirais mourir.
La personne qui, à l’époque était mon père officiel, me soufflait sur le visage pour me réveiller. Je ne voulais absolument pas me réveiller ni bouger de ce lit. Je ne comprenais pas pourquoi la vie devait être souffrance. A l’époque, j’avais développé des abcès à l’os. Toutes mes dents étaient cariées.
Une de mes sœurs a retrouvé une photo de l’époque qui m’a ramené directement dans des parts malheureuses malgré le sourire apparent sur la photo. Les doses massives d’antibiotiques qui m’avaient été prescrites démolissaient également, en plus de ce qui restait de mes dents de lait, mes futures dents définitives et les rendaient aussi friables que du sucre mouillé.

Je me sentais seul, isolé, non aimé, rejeté. J’ai à l’époque tenté de mourir en me jetant sous une voiture. Heureusement le conducteur a eu d’excellents réflexes et m’a touché mais sans dégâts si ce n’est une très grande frayeur pour lui (pour laquelle encore aujourd’hui je lui présente toutes les excuses possibles !). La seule réaction de mes parents a été de m’amener au commissariat du quartier. Pour les Ixellois, il était situé Chaussée de Boendael entre la rue Elise et la rue Banning. Cet endroit est devenu une maison de jeunes). Leur but était de me faire peur. Dans ce local, le commissaire ne trouva rien de mieux, avec l’approbation de mes parents, que de me sermonner et de me placer quelques minutes en cellule. Tout cela du haut de mes 6 ans.

C’est également à cette période que je commençai à m’évader dans les livres. Le premier d’entre eux a été l’Odyssée d’Homère. Ce fut le début de mon grand amour de la poésie et de l’antiquité et des valeurs développées par les athlètes. Ces parts de moi cherchèrent à s’identifier à ces athlètes et Héros antiques par la pratique de l’équitation avec mon grand-père, de l’athlétisme et du javelot, des arts martiaux et le Japon… du contrôle et encore du contrôle.

Ces schémas d’identification à des ressources m’ont néanmoins clairement permis de survivre à cet environnement. Ces mêmes parts ont aussi été la source de dysfonctionnement. J’ai développé un attachement détaché évitant. Je me coupais facilement des émotions puisqu’elles n’avaient pas de place et étaient source de danger dans mon quotidien. Je vivais, une part de moi vivait, cela comme une forme d’abandon. Il fallait ne pas être soi-même, ne pas se montrer, être fort, souffrir en silence, réfléchir, intérioriser, analyser, s’adapter encore et en corps et en cœur…

De temps en temps des bulles d’oxygène venaient tel que mon grand-père et l’équitation. Pendant l’adolescence, ces côtés noirs et la colère refoulée se traduisirent par des parts Pompiers qui recherchaient l’oubli dans le sport, plus de 20h par semaine, dans les sorties à partir de mes 17 ans 2 fois par semaine tous les vendredis et samedis jusqu’à 4, 5 voire 6h du matin. Quelle que soit l’heure, je ne pouvais pas rester couché après 9h du matin. Cela était interdit par ma mère. Il fallait toujours faire. Interdiction de ne rien faire. Et ne « rien faire » se définissait par s’occuper de soi y compris dans la lecture. Bref, tout cet environnement est à l’origine d’une série de sous-personnalités qui étaient la résultante des blessures vécues (Exilés d’abandon, de négligence, de maltraitance, de rejet, de manque d’estime de soi, de confiance en soi, d’affirmation de soi , etc.) et de leurs protecteurs (Sports à outrance, lecture, ruminations mentales, tentative de suicide, évitements, timidité maladive, freeze au niveau des études dans certaines circonstances d’interrogation orale car cela ravivait les souvenirs de mon père qui hurlait sur moi dès que je faisais une erreur. Cela provoquait un état de tétanie immédiat).

Ces programmes de défense peuvent être très aidants à un certain moment et devenir dysfonctionnel à un autre. Par exemple, le fait de me figer quand mon « père » hurlait soudainement m’évitait de recevoir des coups mais pas d’éviter l’humiliation ni les insultes. Par contre, arrivé à l’université ces mêmes réactions de figement m’ont jouer de mauvais tours lors de mes examens oraux en me basculant suite au stress des examens dans un état de tétanie complet. Plus un seul mot ne sortait de ma bouche alors même que je connaissais le cours. Parfois cela se traduisait par la fuite et une « cote de présence ». Le réflexe de survie de Fight Flight Freeze dans toute sa splendeur et également les réflexes archaïques de Moro et de RPP (réflexe de paralysie par la peur). Certaines de mes parts Exilées étaient tellement en souffrance que les Pompiers débarquaient alors même que leur réaction provoquait d’autres blessures ou activaient d’autres Exilés en lien avec la reconnaissance, l’humiliation, le contrôle, l’impuissance… ou des Pompiers de surconsommation, de prodigalité, d’abnégation, de sacrifice, de workholisme…

Suite à la fois à ma formation à différents modèles d’Ego States (IFS, Strategy Families, etc.) et à un travail thérapeutique personnel de plusieurs années dans ces mêmes outils j’ai observé que, même si tout mon système globalement allait bien mieux, je conservais néanmoins certains mécanismes de défense.

J’ai pris conscience, lors de ces observations, qu’une part mentale analysait tout ce processus. Et même si cette part analytique était extrêmement bienveillante, compassionnelle et volontaire vis-à-vis de moi, de mes parts ou de mon système elle m’empêchait par ses actions de (ré)expérimenter cet espace de compassion spontanée, de curiosité saine, de joie, de partage que vivent les enfants qui se sentent et se savent aimés.

Ma réflexion m’a amené à prendre conscience que dans ce modèle IFS, qui a réellement changé positivement ma vie, il restait un aspect, une couche inaccessible si ce n’est que très difficilement et en nécessitant beaucoup (trop) de temps avant que de pouvoir se décharger de ses fardeaux. Cette couche s’appelle le « Self like ». Le modèle IFS m’a réellement ouvert la porte d’une compréhension plus intime de cette famille intérieure et par l’intégration du protocole SEB cela m’a permis de m’en libérer, tout en vivant une intense sécurité intérieure et le respect du rythme de ces parts, bien plus vite que toutes les autres formes de thérapies expérimentées.

Chaque courant avait un intérêt mais, pris seul, chacun dans leur globalité ne permettait pas un accès complet au système de notre famille intérieure ou même si parfois il en permettait une meilleure compréhension cette dernière ne suffisait pas à nous libérer de la charge émotionnelle encore active de ce réseau de souvenirs traumatiques et de ses effets dans notre quotidien.
Le Self like se définit un peu comme le roi des Managers. Avec ceci de particulier que s’il apparaît avant la construction de nos souvenirs identitaires, soit aux environs de nos 3 à 4 ans, nous n’aurons pas pu vivre en conscience ni nous souvenir de cette insouciance joyeuse de l’enfant qui découvre avec curiosité et un courage spontané ce qui l’entoure et que nous définirions comme : Le Self.

Dans le cadre de ce travail sur moi, c’est ce que j’ai finis par comprendre lorsque j’observais au fur et à mesure des avancées de mon accompagnement thérapeutique que j’arrivais de mieux en mieux à ressentir du calme intérieur et même un plus grand détachement émotionnel sans être coupé ni dissocié.

Parfois, et de plus en plus, régulièrement je ressentais même une grande compassion pour ces parts et mon système ainsi que de la gratitude, de la bienveillance. J’ai compris et expérimenté du self mais pas encore le Self. Car même si ce système se désamalgamait et se désidentifiait des parts présentes, je n’arrivais pas à rester calme et serein de manière pérenne et stable. Ces mécanismes de défense récupéraient peu à peu leur place, leur fonction et comportement acquis.

A force d’y réfléchir, j’ai réalisé que si cela revenait et ne tenait pas c’était dû au fait que c’était parce que je demandais justement à une part de faire quelque chose. Le fait de rester dans l’oralité, la verbalisation ou le dialogue intérieur est une forme de mentalisation. Or qu’est-ce que le mental si ce n’est une part en train de faire quelque chose ? Et occupé à le faire à une autre part de moi voire à elle-même au lieu de simplement observer le calme du Self au travers du calme du corps. Le « Self like », qui est le roi des Managers, s’il est apparu très tôt en accompagnement de troubles de l’attachement et même s’il est très compassionnel, bienveillant n’en est néanmoins pas une part contrôle qui agit et fait.

Cette action en elle-même démontrera au reste de notre système qu’il n’a pas affaire au Self mais bien à un programme tout comme lui-même en est composé. A ce moment-là j’ai choisis de rechercher comment intégrer ce calme obtenu par le travail thérapeutique, à un moment donné du travail en IFS, par une observation détachée de la mentalisation ou de la verbalisation… Un déclic m’amena à prendre conscience que cela ne pouvait être qu’en revenant vers le corps . Une application de cette formule latine chère à mon enfance : Mens sana in corpore sano. Un esprit sain dans un corps sain !

Tout le travail que j’avais pu faire en Pleine Conscience et en Mindfulness prenait un autre sens que j’ai choisis d’incorporer au travail de désamalgamage et de désidentification de l’IFS.

J’ai choisis de générer par la stimulation de points d’acupression une activation du système parasympathique ainsi qu’une détente physique associée à un déconditionnement des réseaux de mémoire traumatique (Wolpe) par cette stimulation de points.
J’ai expérimenté également le travail sur le souffle et la respiration en passant des Pranayamas ayurvédiques à la cohérence cardiaque telle qu’enseignée par HeartMate Institute aux USA. J’ai choisis d’y ajouter une intention de compassion à l’expire en reprenant certaines intentions proposées lors de certaines pratiques bouddhistes de type Tonglen.

J’ai aussi testé la TRE (Trauma Release Exercise) qui travaille directement sur le système vagal et le système nerveux autonome en l’amenant à réguler les excédents de stress. Le but étant d’intégrer tous ces outils vers un même objectif de ramener l’attention de l’esprit vers le corps et sa détente.

En gros, j’ai cherché à amener du calme physique dans le système afin d’inviter les parts présentes ou celles dans le besoin d’observer ce calme et de laisser faire, sans plus rien d’autre à faire ou à analyser ni comprendre que de laisser cette observation agir par elle-même.
Notre cerveau ne peut penser en même temps positif et négatif. Si nous arrivons à le focaliser sur du calme, en général, le calme va augmenter. Or le calme est une des 8 qualités du Self proposées en IFS.

Cette observation peut être appuyée parfois par la stimulation de points d’acupression ou de la respiration avec l’intention de compassion à l’expire. Elle déclenche dès lors une augmentation de ce calme par l’activation du système parasympathique.

Le SEB est né de cette observation que dès que nous ramenons notre attention sur le corps et le bien-être physique les parts peuvent (re)faire l’expérience du Self et lâcher volontairement toutes ensemble plutôt que l’une après l’autre. Cela accélère, sans forcer, le processus de déchargement et de réparation.

La partie compassionnelle du travail fait vraiment l’objet de cette réparation.
Lorsque j’ai pris conscience de ces parts blessées en moi et que j’ai réalisé qu’elles étaient bloquées dans le passé, qu’elles n’avaient aucune conscience de qui j’étais ici et maintenant, qu’elles me voyaient toujours à l’âge que j’avais au moment des faits… j’ai compris que si je pouvais leur faire revivre l’amour, la compassion, la compréhension de ce quelles avaient vécus tout en leur offrant ce dont elles avaient manqués, cela réparerait automatiquement ces parts et les ramènerait au moment présent.

Leur offrir en tant qu’adulte, ici et maintenant, cet amour, cette attention, cette compassion dont elles avaient manqué était de l’ordre de ce que nos parents ou autres adultes n’avaient pas pu nous offrir pour créer cette sécurité minimale suffisante à notre bon développement émotionnel et affectif.

Le travail de compassion est un réel cadeau de vie.

Le SEB intègre tous ces concepts et expériences de façon à créer cet espace de calme, nous en faciliter l’accès et nous amener à le (re)vivre en pleine unité ; Tout comme enfant nous nous sentions Un et aimé… normalement !

“Don’t plant anything but Love” (Rumi)

Publication proposée par : Wauthier-Freymann Yves

Yves Wauthier-Freymann est Psychothérapeute à Ottignies-Louvain-la-Neuve. Yves est spécialisé en Trauma complexe et troubles de l’attachement. Il est aussi superviseur IFS et co-directeur de Iepra
- www.iepra.com.
Consultations :
- Rue Marie d’Oignies 57 - 1348 Ottignies-Louvain-la-Neuve
- 2 rue du gaensberg, 67370 Pfulgriesheim France
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